LES ORIGINES DU POLE DANCE

Ce soir, plutôt que de compter les moutons, mon esprit, curieusement, se demande si la danse autour du mât enrubanné fut le précurseur du pole dance.

 

N’importe quoi? Débile? Ok ok…

 

Attendez ! Ne partez pas tout de suite. Un groupe de neurones particulièrement inspirés et réputés, nichés dans le recoin gauche de mon cerveau, a proposé un argument qui mérite réflexion.

 

Imaginez, si vous le voulez bien, un enchevêtrement catastrophique de rubans lors d’une répétition pour un spectacle de mât enrubanné extrêmement complexe et hautement confidentiel. Imaginez que cette joyeuse pagaille devait être exécutée devant la cour d’un homme célèbre et quelque peu colérique, à savoir le roi Henry VIII. Un tel fiasco de nœuds, juste avant un événement aussi important, pousserait sans doute tous les participants à fuir vers l’Écosse, prêts à se jeter à travers les fameuses pierres d’Outlander, idéalement droit dans les bras de Jamie Fraser et compagnie !

 

C’est là qu’intervient Gwyneth, une fille élancée et déterminée du Lancashire. Gwyneth frotte ses mains sur son jupon pour les sécher, puis demande à l’infatigable Edwina (du Yorkshire, d’après un groupe de neurones plus récemment formés près de ma glande pinéale) de lui faire la courte échelle. Gwynth enroule alors ses longues jambes musclées et opalescentes autour du mât, trouve sa prise et, hop, la voilà qui grimpe.

 

Une fois au sommet, Gwynth se sécurise au mât avec le seul ruban libre disponible. De là, elle peut se détendre, se balançant doucement au-dessus de ses amies incrédules et grandement soulagées, tout en démêlant le nœud. Enfin, quand tout ondoie à nouveau librement dans la douce brise du Gloucestershire, elle glisse gracieusement vers la terre, exécutant quelques acrobaties en redescendant, juste pour le plaisir.

 

« Hmmm, voilà une idée qu’elle est bonne», pense Jenny, une jeune femme astucieuse, en jetant en arrière ses luxuriantes mèches châtain. Elle serre alors ses cuisses musclées et son puissant fessier sous sa jupe.

 

Un deux, un deux… testing testing…

 

La suite appartient à l’histoire (alternative ?!).

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